Le Trône de Fer (A Game of Thrones)

Apres la saga de L’épée de Vérité par Terry Goodking, dont l’adaptation en série TV sous le nom de Legend of the Seeker avait attiré mon attention (elle devrait être diffusée bientôt en France d’ailleurs). Sur les conseils d’une amie, j’entame maintenant une autre grande saga de fantasy en roman : Le Trône de Fer
Le Trône de fer est une série de fantasy écrite par George R. R. Martin. Il s’agit de son œuvre la plus connue. Elle est à l’origine d’un jeu de cartes et d’un jeu de société très connus en Amérique du Nord.
Ces livres sont connus pour leurs personnages extrêmement détaillés et vivants, leurs renversements radicaux de situations, et leurs intrigues politiques. Dans un genre où la magie tient généralement le premier rôle, cette série fait au contraire rarement appel à celle-ci, qui est décrite au début du roman comme un phénomène ayant existé mais ayant pratiquement disparu ; cela ne la rend que plus intrigante.

Il était une fois, perdu dans un lointain passé, le royaume des Sept Couronnes…
En ces temps nimbés de brume, où la belle saison pouvait durer des années, la mauvaise toute une vie d’homme, se multiplièrent un jour des présages alarmants.
Au nord du Mur colossal qui protégeait le royaume, se massèrent soudain des forces obscures ; au sud, l’ordre établi chancela, la luxure et l’inceste, le meurtre et la corruption, la lâcheté et le mensonge enserrèrent inexorablement le trône convoité.
Pour préserver de l’ignominie les siens et la dynastie menacés se dresse alors, armé de sa seule droiture, le duc Stark de Winterfell, aussi rude que son septentrion natal.
Mais, en dépit du pouvoir immense que vient de lui conférer le roi, a-t-il quelque chance d’endiguer la tourmente qui se lève ?

Dans la lignée des Rois Maudits et d’Excalibur, Le Trône de Fer plonge le lecteur, sans lui laisser reprendre souffle, dans un univers de délices et de feu.

L’épique et le chevaleresque côtoient sans cesse le vil et le démoniaque.
La bravoure et la loyauté se heurtent à la duplicité et à la fourberie.
Mais dans ce tourbillon d’aventures cruelles, ce sont finalement l’amour, la tendresse, l’indestructible force de l’amitié qui rayonnent au-dessus des ténèbres.

Bon je n’en suis qu’au début mais ce roman a tout pour me plaire : de nombreux personnages complexes, avec plein de défauts (c’était un peu ce que je reprochais à L’épée de Vérité, le héros est trop « parfait »), le contexte sociopolitique est bien ancré, c’est épique, riche en rebondissement, et c’est surtout humain !
L’écriture de l’auteur est fluide, ça se lit très bien !
Le seul souci pour le moment, c’est que vu le nombre de personnage, on n’a pas intérêt a faire une pause trop longue entre deux chapitres, sinon on ne sait plus qui et qui ! C’est un roman qui demande une assiduité importante, ça se lit d’une traite !

J’y reviendrai surement quand j’aurai fini la saga.

A noter aussi que la chaine américaine HBO a mise en chantier une série TV qui devrait apparaître d’ici 2010 !

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