Rurouni Kenshin (Kenshin Le Vagabond) Live Action Movie (2012)

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Cela fait un moment que je voulais parler de ce film, adaptation du célèbre Manga de Nobuhiro Watsuki, mais je voulais d’abord relire le manga d’origine (ou du moins les tomes concernés par cette adaptation). C’est chose faite désormais.

Rurouni Kenshin (Kenshin Le Vagabond, en France), est un excellent manga publié chez nous par l’éditeur Glénat en 28 tomes (22 tomes pour « l’Ultimate Edition » ) et a été adapté en série d’animation de 95 épisodes  ainsi qu’un film et 3 séries d’OAV (le tout disponible chez l’éditeur Dybex).
À la fin de l’ère du dernier Shogun Yoshinobu Tokugawa, Kenshin était un hitokiri, un assassin au service des patriotes qui ont mis en place le gouvernement Meiji. Sa technique issue de l’école du Hiten Mitsurugi Ryu a fait de lui une Légende.
À l’instauration de l’ère Meiji, il devient vagabond (rurouni) en quête de rédemption pour les crimes qu’il a commis lors de cette période sombre qu’a été ce changement d’ère.
Errant et utilisant un sabre inversé pour ne plus tuer, il cherche désespérément un moyen d’expier ses crimes. Dix ans après la restauration, il se retrouve à faire face à des anciens adversaires avec qui il n’a pas conclu la précédente lutte, et qui souhaitent prendre leur revanche ; il est alors obligé de lutter, au risque de redevenir assassin, pour ne pas impliquer les innocents pour lesquels il s’est battu dix ans plus tôt. Le thème de cette œuvre est là : le voyage expiatoire d’un homme poursuivi par son lourd passé.
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J’en viens donc, au sujet du jour : L’adaptation « Live » de cette œuvre magnifique.
Le film est sorti au Japon le 25 août 2012 et a commencé à être distribué en DVD le 26 décembre 2012 (toujours au Japon).

Vu l’excellente base, j’avais quelques appréhensions quant à cette version avec acteurs. Appréhensions vites balayées heureusement au visionnage du film.

Le film, réalisé par Keishi Ōtomo et dont Kiyomi Fujii a signé le scénario, est d’une grande fidélité dans son traitement à l’œuvre initiale. L’histoire mixe les intrigues des 5 premiers tomes du manga original (un peu plus des 3 premiers si on se réfère à l’Ultimate Edition). fusionnant parfois certains personnages du manga, mais toujours en respectant l’ambiance et les personnalités des héros.
Pour ceux qui connaissent le manga, l’histoire débute donc réellement par la rencontre avec Kaoru qui confond Kenshin avec l’assassin salissant le nom de son école en perpétrant des crimes sous le nom de Battosaï de l’école de l’esprit vivant Kamiya. Kenshin rencontrera également nombre de personnes tels que  Hajimé Saïto, Sagara Sanosuke (un peu bâclé a mon gout par contre, c’est le seul petit bémol que j’émets pour ce film) mais également Takani Megumi et Myojin Yahiko.
Takeda Kanryu, trafiquant en tout genre, sera l’opposant principal du héros, secondé par Udo Jin-e.

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Takeru Satoh, connu des fans de tokusatsu pour son rôle dans Kamen Rider Den-O,  endosse admirablement le rôle de Kenshin Himura passant de situations comiques au plus sévères avec une aisance rare.

Côté articulation scénaristique, Keishi Ōtomo, le réalisateur, est parvenu à ordonner tout cela de manière réaliste et fluide.
Les thématiques évoquées restent fortes avec entre autres choses:

  • Solitude à travers Megumi qui se cherche une raison d’être dans cette ère Meiji qui l’a abandonnée, seule et désespérée, sans famille auprès de qui se reposer.
  • Le remord également à travers la repentance de Kenshin par l’errance et la défense du plus faible par son sabre à lame inversée.
  • La lutte constante de Kenshin face à son âme d’assassin qui resurgit particulièrement lors des combats contre Jin-e et Saïto.

Je ne vous en dis pas plus pour ne rien vous gâcher et pour que vous puissiez découvrir plus en profondeur les multiples dilemmes des personnages.

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L’action n’est pas en reste : un boulot extraordinaire a été fait, rendant possible l’impossible ! Les techniques de l’école Hiten Mitsurugi dont Kenshin est le dernier héritier sont magnifiquement mis en scène.
L’agilité et la vitesse du petit samouraï roux sont l’occasion de scènes d’action rapides, nerveuses et très immersives, soulignant à merveille le talent de Kenshin face à ses adversaires pris de cours.
Les combats au sabre sont, du début à la fin, haletants et sans merci. L’intrusion de Sanosuke et de Kenshin au sein de la propriété de Kanryu est encore plus épique que dans le manga. Une scène que je n’aurai jamais cru réalisable tellement la technique est vertigineuse !

Pour ne rien gâcher, niveau bande son, les compositions de Naoki Sato collent parfaitement à l’ambiance du film, soulignant la mélancolie et la tristesse de certaines scènes comme la violence horrifiante d’autres.

Bref, un film que je conseille vivement, que l’on connaisse ou non le manga ou l’anime.
Logiquement il devrait sortir en France en DVD puisqu’il est produit par Warner qui a proposé sur le site officiel des trailers avec sous titres Français (entre autres langues). Ne passez pas à coté !

Voici d’ailleurs, un des trailers en VOSTF :

Enfin, à noter également, que pour l’occasion, l’auteur du manga, Nobuhiro Watsuki, s’est remis à dessiner Kenshin dans Rurouni Kenshin: Kinema-ban, un remake de l’œuvre originale qui retrace les évènements du film live.

 

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La jeunesse de Picsou par Don Rosa (Édition Glénat)

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Voilà, je viens de terminer ce monument de la BD avec un plaisir fou de lecture.

Après l’intégrale Carl Barks (le créateur du personnage de Picsou, le grand maitre de cette célèbre famille de canards de l’univers Disney), les éditions Glénat nous propose pour la première fois en librairie, une intégrale d’un autre grand nom des comics Disney : Keno Don Rosa.

Le premier volume nous propose la série en 12 épisodes The Life and Times of Scrooge McDuck (La jeunesse de Picsou dans son titre français), la série, écrite en 1992, qui a permit à Don Rosa de remporter le prestigieux Eisner Award de la meilleure série à suivre en 1995 ( c’est grosso modo l’Oscar ou César de la BD).

Cette série nous raconte comment le jeune Balthazar McPicsou, alors âgé de 13 ans et issu d’une famille pauvre, quitte son Écosse natale pour tenter de faire fortune en Amérique puis à travers le monde. Les 12 épisodes couvrent la période 1877 à 1947, date à laquelle Barks, le créateur du personnage, mets en scène pour la premiere fois dans un comic Disney, le Picsou que tout le monde connait.

Don Rosa fait montre ici d’un grand talent mais aussi d’une incroyable passion pour l’œuvre de Barks, son maître, à qui il n’oublie jamais de rendre hommage grâce à un D.U.C.K. (Dedicated to Unca Carl from Keno) caché au milieu d’une case. Patiemment, Rosa a recueilli toutes les références au passé qui étaient disséminées dans les écrits de Barks, pour bâtir une saga aussi riche que respectueuse de la continuité établie par Carl Barks.

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Ma rencontre avec l’auteur : Don Rosa en dédicace au Comics Festival de Lille 2011

Au final, Don Rosa nous propose une œuvre majeure, un exploit technique absolu doublé d’une virtuosité incroyable pour faire passer des émotions incroyablement humaines, sans négliger l’humour et l’aventure épique. L’évolution du personnage est magistrale au travers de faits historiques réels, de rencontres, de nombreux échecs et drames jusqu’à l’aboutissement de son rêve après des années d’efforts, de persévérance et de sacrifices. Bien que la mélancolie soit présente, tout passe en finesse, sans effets larmoyants et même avec une rare poésie.

Chaque chapitre de cette fabuleuse histoire est agrémenté d’un petit article écrit par Don Rosa lui même (en exclusivité pour cette édition française !) qui revient sur le contexte d’écriture , sur ses recherches, ses choix et autres anecdotes extrêmement intéressantes qui nous fait pleinement prendre conscience de la somme de travail que cela a nécessité pour parfaire ces histoires.

Le travail éditorial est conforme à celui effectué sur les intégrales de Carl Barks : des fiches détaillées sur les différentes éditions internationales et françaises de chaque chapitre. La solution des D.U.C.K. est également fournie. Et enfin, l’arbre généalogique des Duck est présent deux fois, dont une sous forme de grand poster.

Pour l’occasion, l’œuvre a été re-colorisée, des couleurs plus réalistes qui conviennent à merveille au dessin ultra détaillé de Don Rosa mais également à son scenario puisque de réels faits historiques parsèment la destinée du personnage. Certes sur ce point, les nostalgiques qui ont connut cette série avec la première édition en kiosque en France en 1997 seront peut-être un peu déçu par cette nouvelle mise en couleurs qui dénatureront un peu leur souvenir de leur « première fois », mais je trouve qu’elle a été plutôt bien pensée dans l’ensemble.

Bref même pour ceux qui pensent que les histoires de canards Disney ne valent pas la peine de s’y intéresser (vive les préjugés), les qualités indéniables de cette épopée ne peuvent échapper à personne (sauf mauvaise foi particulièrement aiguisée).

The Life and Times of Scrooge McDuck (La jeunesse de Picsou) est une œuvre à lire qu’on soit ou non fan de l’univers Disney. Si on connait l’œuvre de Barks c’est un plus indéniable car Rosa nous fait entrer alors dans un jeu de reconstitution, mais il n’est pas obligé de connaitre Barks pour apprécier cette série tant Rosa fait montre de virtuosité dans son dessin comme dans la structure de son histoire.

A noter que Glénat a prévu une collection en 7 volumes pour l’œuvre de Rosa (le volume 2 sera consacré aux épisodes annexes de la jeunesse de Piscou) et que le même éditeur sort actuellement l’œuvre du grand maitre Carls Barks, « l’homme aux canards », en 27 volumes dont 10 sont actuellement sorties. Ci-dessous quelques uns des premiers volumes.

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Denjin Zaborgar

Denjin Zaborger (電人ザボーガー Denjin Zabōgā traduit aussi sous le nom Electroid Zaborger 7) est à la base une série du genre Tokusatsu (du style Spectreman, X-OR, Bioman, Kamen Rider, etc…) qui a hanté les petits écrans japonnais pendant 52 épisodes en 1974.

Ce fut la dernière série de la P Productions dans les années 70 après les plus célèbres Spectreman (1971) et Kaiketsu Lion-Maru (1972) entres autres choses.

Pour les connaisseurs, le rôle principal, Daimon Yutaka, était tenu par Akira Yamaguchi, qui tenait, un an auparavant le rôle de Joji Yuki/Riderman dans l’excellent Kamen Rider V3 (mode auto PUB « on » _ sous-titrée en français par Henshin No Densetsu, ma team de fansub _ mode auto PUB « off »).

Voici un des génériques pour vous donner une idée :

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Pour plus d’info (en français) sur la série de 1974, je vous conseille cet article sur ArtsLivres qui propose un review assez complet pour une série si méconnue.

Si j’en parle aujourd’hui, c’est qu’un remake a été fait en 2011 au japon et est sortie en France sous le nom de Karate-Robo Zaborgar le 4 décembre 2012 en Bluray/DVD chez l’editeur Elephant films… que je me suis procuré en toute hâte, en bon fan de tokusatsu.

Ce remake, on le doit à Noboru Iguchi, connu pour The Machine Girl et RoboGeisha entre autres joyeusetés frappadingues comico-SF-sexy-gore de la collection Sushi Typhoon.

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le synopsis reste simple : Suite au décès de son père, l’officier de police Daimon Yutaka hérite d’un puissant robot guerrier nommé Zaborgar, expert en arts martiaux et ayant le pouvoir de se transformer en moto. Les deux justiciers vont dès lors devoir se confronter à Sigma, une organisation démoniaque.

Nous avons droit avec ce film à un Noboru Iguchi en apparence plus sage par rapport a ses films précédents. Ici de réelles qualités cinématographiques qu’on ne connaissait pas chez ce réalisateur qui nous offre un scope rutilant, des effets spéciaux réussis et même une série de plans d’une beauté redoutable. Zaborgar a de la classe c’est indéniable. Noboru Iguchi s’amuse avec le genre tokusatsu, ses clichés, son coté « nanard », l’aspect « surjoué » parfois, bref le coté Kitch indissociable de ces séries des années 70. Une bonne dose de bons sentiments, d’honneur typiquement japonais marque les personnages du film comme dans tout bon tokusatsu. Nous avons même carrément droit au générique de la série, modernisé certes, mais conforme aussi bien visuellement que musicalement.

La fidélité au support d’origine est au rendez-vous, tout les personnages sont là, avec plus ou moins les mêmes traits de caractères. L’organisation SIGMA est celle qu’on a pu voir dans la série de 1974, avec les mêmes protagonistes, mêmes apparences physiques et looks. (avec une méconnaissable Mami Yamasaki, Shizuka dans GôGô Sentaï Boukenger, dans le rôle de Miss Borg ). Les gadgets du robot aussi ridicules qu’ils soient pour certains, sont tous présents dans ce film avec toute la palette des monstres de la série, mention spéciale au bulldog camion dont j’ai oublié le nom :p .

Toutefois, le réalisateur n’oublie pas ses racines et ne peut s’empêcher d’y mettre sa marque, sa folie typique des productions Sushi Typhoon. Si cette fois, il renonce aux sanglantes giclées et orgies gores, il n’abandonne pas pour autant ses compulsives obsessions: nichons lance missiles à gogo, paire de miches dinosaures, robots coquins et l’humour tranchant. Bref, ce film est au final un bel hommage à la série, faussement sage, qui cache sous une nappage sucre cheap tout droit sorti des 70’s une substance plus acide.

Sans doute le film de Sushi Typhoon le plus accessible pour le grand publique, qui plaitra à la fois aux amateurs de Tokusatsu et aux fans des productions Sushi Typhoon « classiques ».

Un des trailers du film :

Ainsi qu’un petit montage de quelques scènes de la première partie du film avec la musique du générique:

Au niveau de l’edition française, Elephant films met les petits plats dans les grands avec un coffret DVD + Bluray coiffé d’un sur-étui cartonné. En plus des deux disques, vous trouverez un excellent livret de 12 pages. Niveau image, avantage bien sûr du côté Bluray avec une HD superbement définie et colorée. Toutefois, le DVD n’est pas en reste. Les deux galettes proposent des pistes audio Japonaise et Française 5,1 (DTS pour le Bluray, Dolby digital pour le DVD) et des sous titres français. Les 60 minutes de bonus se trouvent, elles, sur le DVD. Vous aurez droit à 13 épisodes de la mini série « promo » assez drôle il faut le dire, un making off, une flopée de trailers, un teaser et un karaoké du générique nous permettant de découvrir aussi des aperçus de la série de 1974.
Bref une bien belle édition comme on aimerait en voir plus souvent.

 

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Gothic & Lolita Psycho

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Titre : Gothic and Lolita Psychoゴスロリ処刑人
Année : 2010
Durée : 1h28
Origine : Japon
Genre : Action / VengeanceRéalisateur : Ohara Gô

Acteurs : Akiyama Rina, Momose Misaki, Aoyagi Ruito, Asami et Nakajima Fumie

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Petite découverte récente pour moi, sortie en Bluray/DVD en octobre 2012 en France dans la collection Sushi Typhoon de l’éditeur Elephant Films.
Pourquoi m’y suis-je intéressé ?
Tout simplement car Rina Akiyama a le rôle principal.
Pour ceux qui ne suivent pas de tokusatsu et drama japonais, Rina Akiyama est une célèbre « idole » ayant joué dans les séries tokusatsu de la Toei : Kamen Rider Agito et Kamen Rider Den-o entre autres choses (Je retiens notamment hors tokusatsu : Zombie-ya Reiko et Cupid no Itazura).
Bref, en temps que bon « toku-fan », je commande l’édition Bluray/DVD sortie chez nous (le combo n’étant en plus pas très cher).
Petit résumé sans spoil : Yuki est une jeune femme qui se lance à la poursuite de cinq personnes faisant parti d’une secte ayant assassinée sa mère sous ses yeux et ceux de son père, homme d’église désormais en fauteuil roulant. Armée de parapluies mortels, sa vengeance sera terrible.Réalisé par Ohara Gô, bien connu pour son orchestration des scènes d’actions de Onechanbara et pour la réalisation de Geisha Assassin, continue d’appliquer la recette « scénario minimaliste et simpliste, action à gogo, un zeste de gore et d’humour », recette éprouvée depuis Machine Girl, Tokyo Gore Police et autre Vampire Girl VS Frankenstein Girl. (qui a dit : « des nanards quoi ! » ?).
Bref Gothic and Lolita Psycho est ce que j’appelle un film pop-corn, où il ne faut pas se prendre la tête et juste admirer l’action.
Et question action, Ohara Gô gère ! Des le premier combat, on en a pour notre argent ( et franchement avec une tenue gothique comme celle là et avec, en guise d’arme, un parapluie, il faut le faire !). Quatre autres combats suivront avec plus ou moins de bonheur. On en restera là (ou presque) pour le scénario.
Projet
Gothic-and-Lolita-Psycho-Yuki-Rina-Akiyama Au final, Gothic and Lolita Psycho est grosso modo un petit Kill Bill avec un soupçon de fantastique mais sans le talent et la profondeur d’un Tarantino. Néanmoins, le film nous réserve de bonnes scènes d’action avec un zeste d’humour typiquement japonnais. ça plaira largement aux amateurs. Il est évident par contre, que le public peu amateur du genre et de la culture nippone ne comprendront rien à tout ça.

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Un petit mot sur la décevante édition française : oui, décevante car l’éditeur nous propose dans cette édition dite « prestige » une édition censurée ! En effet, il manque 7 minutes du film original !

Questionné à ce propos, l’éditeur a répondu qu’il a fait avec le matériel qu’a bien voulu fournir les producteurs japonnais. Faisant de cette version censurée la version officielle du film. Une version « uncut » est sortie en Allemagne. Il est dommage que pour une édition appelée « prestige » nous n’ayons pas cette version uncut (sortie pourtant au japon sous cette forme) !

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Nouvelle interface et nouvel hébergement pour le Blog

Voilà, après des mois d’inactivité, où mon compte facebook avait plus ou moins prit le relais (sans toutefois aller dans des articles détaillés), je me suis décidé à reprendre en main le blog.

Cette fois, exit l’hébergeur Free et l’interface Dotclear. Désormais, j’héberge mon blog sur un serveur et un nom de domaine privé : tokusatsu.org, site dont j’ai participé a la création il y a 10 ans environ…

Je suis « connu » (dans une petite communauté Web de fans) comme étant « le Remember de tokusatsu.org », donc avec ce domaine (remember.tokusatsu.org) la filiation est respectée.

De plus, l’interface utilisée est WordPress, une interface dont j’ai l’habitude maintenant et qui m’offre plus de possibilités pour de prochaines évolutions du blog.

Je mettrais en place des pages annexes aux articles du blog proprement dit, pour indexer différents sujets que je juge intéressant de mettre en avant.

Je ne promets pas de poster régulièrement, ce sera selon le temps disponible et l’humeur du moment. Je ne fais pas ce blog pour attirer du monde, si je ne suis lu que par une poignée d’amis ça me convient parfaitement… la régularité des mises à jour n’est donc pas prioritaire.

Les sujets abordés seront a priori les mêmes : mes lectures du moment (que ce soit romans, BD au sens larges – inclus comics et mangas), les films et séries TV que j’ai pu visionner, plus rarement les musiques que j’écoute.

J’aborderai aussi mon élevage d’oiseaux de temps en temps (chose que je ne faisais pas auparavant sur le blog).

Et une large partie sera consacrée à mes activités « WEB » notamment sur  les sites que je gère (avec d’autres personnes) et sur les fansubs où je suis impliqué personnellement.

Bref, je parlerai ici de mes intérêts (du moins quelques-uns) et passions.

Si un de ces sujets est susceptible de vous intéresser, alors à bientôt 🙂

 

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